Exode chapitre 9
- L’Éternel dit à Moïse : Va vers Pharaon, et tu lui diras : Ainsi parle l’Éternel, le Dieu des Hébreux : Laisse aller mon peuple, afin qu’il me serve.
- Si tu refuses de le laisser aller, et si tu le retiens encore,
- voici, la main de l’Éternel sera sur tes troupeaux qui sont dans les champs, sur les chevaux, sur les ânes, sur les chameaux, sur les bœufs et sur les brebis ; il y aura une mortalité très grande.
- L’Éternel distinguera entre les troupeaux d’Israël et les troupeaux des Égyptiens, et il ne périra rien de tout ce qui est aux enfants d’Israël.
- L’Éternel fixa le temps, et dit : Demain, l’Éternel fera cela dans le pays.
- Et l’Éternel fit ainsi, dès le lendemain. Tous les troupeaux des Égyptiens périrent, et il ne périt pas une bête des troupeaux des enfants d’Israël.
- Pharaon s’informa de ce qui était arrivé ; et voici, pas une bête des troupeaux d’Israël n’avait péri. Mais le cœur de Pharaon s’endurcit, et il ne laissa point aller le peuple.
Fléau nunémo six : les ulcères
- L’Éternel dit à Moïse et à Aaron : Remplissez vos mains de cendre de fournaise, et que Moïse la jette vers le ciel, sous les yeux de Pharaon.
- Elle deviendra une poussière qui couvrira tout le pays d’Égypte ; et elle produira, dans tout le pays d’Égypte, sur les hommes et sur les animaux, des ulcères formés par une éruption de pustules.
- Ils prirent de la cendre de fournaise, et se présentèrent devant Pharaon ; Moïse la jeta vers le ciel, et elle produisit sur les hommes et sur les animaux des ulcères formés par une éruption de pustules.
- Les magiciens ne purent paraître devant Moïse, à cause des ulcères ; car les ulcères étaient sur les magiciens, comme sur tous les Égyptiens.
- L’Éternel endurcit le cœur de Pharaon, et Pharaon n’écouta point Moïse et Aaron, selon ce que l’Éternel avait dit à Moïse.
- L’Éternel dit à Moïse : Lève-toi de bon matin, et présente-toi devant Pharaon. Tu lui diras : Ainsi parle l’Éternel, le Dieu des Hébreux : Laisse aller mon peuple, afin qu’il me serve.
- Car, cette fois, je vais envoyer toutes mes plaies contre ton cœur, contre tes serviteurs et contre ton peuple, afin que tu saches que nul n’est semblable à moi sur toute la terre.
- Si j’avais étendu ma main, et que je t’eusse frappé par la mortalité, toi et ton peuple, tu aurais disparu de la terre.
- Mais, je t’ai laissé subsister, afin que tu voies ma puissance, et que l’on publie mon nom par toute la terre.
- Si tu t’élèves encore contre mon peuple, et si tu ne le laisses point aller,
- voici, je ferai pleuvoir demain, à cette heure, une grêle tellement forte, qu’il n’y en a point eu de semblable en Égypte depuis le jour où elle a été fondée jusqu’à présent.
- Fais donc mettre en sûreté tes troupeaux et tout ce qui est à toi dans les champs. La grêle tombera sur tous les hommes et sur tous les animaux qui se trouveront dans les champs et qui n’auront pas été recueillis dans les maisons, et ils périront.
- Ceux des serviteurs de Pharaon qui craignirent la parole de l’Éternel firent retirer dans les maisons leurs serviteurs et leurs troupeaux.
- Mais ceux qui ne prirent point à cœur la parole de l’Éternel laissèrent leurs serviteurs et leurs troupeaux dans les champs.
- L’Éternel dit à Moïse : étends ta main vers le ciel ; et qu’il tombe de la grêle dans tout le pays d’Égypte sur les hommes, sur les animaux, et sur toutes les herbes des champs, dans le pays d’Égypte.
- Moïse étendit sa verge vers le ciel ; et l’Éternel envoya des tonnerres et de la grêle, et le feu se promenait sur la terre. L’Éternel fit pleuvoir de la grêle sur le pays d’Égypte.
- Il tomba de la grêle, et le feu se mêlait avec la grêle ; elle était tellement forte qu’il n’y en avait point eu de semblable dans tout le pays d’Égypte depuis qu’il existe comme nation.
- La grêle frappa, dans tout le pays d’Égypte, tout ce qui était dans les champs, depuis les hommes jusqu’aux animaux ; la grêle frappa aussi toutes les herbes des champs, et brisa tous les arbres des champs.
- Ce fut seulement dans le pays de Gosen, où étaient les enfants d’Israël, qu’il n’y eut point de grêle.
- Pharaon fit appeler Moïse et Aaron, et leur dit : Cette fois, j’ai péché ; c’est l’Éternel qui est le juste, et moi et mon peuple nous sommes les coupables.
- Priez l’Éternel, pour qu’il n’y ait plus de tonnerres ni de grêle ; et je vous laisserai aller, et l’on ne vous retiendra plus.
- Moïse lui dit : Quand je sortirai de la ville, je lèverai mes mains vers l’Éternel, les tonnerres cesseront et il n’y aura plus de grêle, afin que tu saches que la terre est à l’Éternel.
- Mais je sais que toi et tes serviteurs, vous ne craindrez pas encore l’Éternel Dieu.
- Le lin et l’orge avaient été frappés, parce que l’orge était en épis et que c’était la floraison du lin ;
- le froment et l’épeautre n’avaient point été frappés, parce qu’ils sont tardifs.
- Moïse sortit de chez Pharaon, pour aller hors de la ville ; il leva ses mains vers l’Éternel, les tonnerres et la grêle cessèrent, et la pluie ne tomba plus sur la terre.
- Pharaon, voyant que la pluie, la grêle et les tonnerres avaient cessé, continua de pécher, et il endurcit son cœur, lui et ses serviteurs.
- Le cœur de Pharaon s’endurcit, et il ne laissa point aller les enfants d’Israël, selon ce que l’Éternel avait dit par l’intermédiaire de Moïse.
Fléau nunémo cinq : la mort du bétail
- Yahvé dit à Moïse : " Va trouver Pharaon et dis-lui : Ainsi parle Yahvé, le Dieu des Hébreux : "Laisse partir mon peuple, qu'il me serve. "
- Si tu refuses de le laisser partir et le retiens plus longtemps,
- voici que la main de Yahvé frappera tes troupeaux qui sont dans les champs, les chevaux, les ânes, les chameaux, les bufs et le petit bétail, d'une peste très grave.
- Yahvé discernera les troupeaux d'Israël des troupeaux des Égyptiens, et rien ne mourra de ce qui appartient aux Israélites.
- Yahvé a fixé le temps en disant : Demain Yahvé fera cela dans le pays. "
- Le lendemain, Yahvé fit cela, et tous les troupeaux des Égyptiens moururent, mais des troupeaux des Israélites, pas une bête ne mourut.
- Pharaon fit une enquête, et voici que des troupeaux d'Israël pas une seule bête n'était morte. Mais le cur de Pharaon s'appesantit et il ne laissa pas partir le peuple.
- Yahvé dit à Moïse et à Aaron : " Prenez plein vos mains de suie de fourneau et que Moïse la lance en l'air, sous les yeux de Pharaon.
- Elle se changera en fine poussière sur tout le pays d'Égypte et provoquera, sur les gens et sur les bêtes, des ulcères bourgeonnant en pustules, dans toute l'Égypte. "
- Ils prirent de la suie de fourneau et se tinrent devant Pharaon ; Moïse la lança en l'air et gens et bêtes furent couverts d'ulcères bourgeonnant en pustules.
- Les magiciens ne purent se tenir devant Moïse à cause des ulcères, car les magiciens étaient couverts d'ulcères comme tous les Égyptiens.
- Yahvé endurcit le cur de Pharaon et il ne les écouta pas, comme l'avait prédit Yahvé à Moïse.
- Yahvé dit à Moïse : " Lève-toi de bon matin et tiens-toi devant Pharaon. Tu lui diras : Ainsi parle Yahvé, le Dieu des Hébreux : "Laisse partir mon peuple, qu'il me serve. "
- Car cette fois-ci, je vais envoyer tous mes fléaux contre toi-même, contre tes serviteurs et contre ton peuple, afin que tu apprennes qu'il n'y en a pas comme moi sur toute la terre.
- Si j'avais étendu la main et vous avais frappés de la peste, toi et ton peuple, tu aurais été effacé de la terre.
- Mais je t'ai laissé subsister afin que tu voies ma force et qu'on publie mon nom par toute la terre.
- Tu le prends de haut avec mon peuple en ne le laissant pas partir.
- Eh bien demain, à pareille heure, je ferai tomber une grêle très forte, comme il n'y en a jamais eu en Égypte depuis le jour de sa fondation jusqu'à maintenant.
- Et maintenant, envoie mettre tes troupeaux à l'abri, et tout ce qui, dans les champs, t'appartient. Tout ce qui, homme ou bête, se trouvera dans les champs et n'aura pas été ramené à la maison, la grêle tombera sur lui et il mourra. "
- Celui des serviteurs de Pharaon qui craignit la parole de Yahvé fit rentrer en hâte ses esclaves et ses troupeaux dans les maisons.
- Mais celui qui ne prit pas à cur la parole de Yahvé laissa aux champs ses esclaves et ses troupeaux.
- Yahvé dit à Moïse : " Étends ta main vers le ciel et qu'il grêle dans tout le pays d'Égypte, sur les hommes et sur les bêtes, sur toute l'herbe des champs au pays d'Égypte. "
- Moïse étendit son bâton vers le ciel, et Yahvé tonna et fit tomber la grêle. La foudre frappa le sol, et Yahvé fit tomber la grêle sur le pays d'Égypte.
- Il y eut de la grêle et le feu jaillissait au milieu de la grêle, une grêle très forte, comme il n'y en avait jamais eu au pays des Égyptiens depuis qu'ils formaient une nation.
- La grêle frappa, dans tout le pays d'Égypte, tout ce qui était dans les champs, hommes et bêtes. La grêle frappa toutes les herbes des champs et brisa tous les arbres des champs.
- Ce n'est qu'au pays de Goshèn, où se trouvaient les Israélites, qu'il n'y eut pas de grêle.
- Pharaon fit appeler Moïse et Aaron et leur dit : " Cette fois, j'ai péché ; c'est Yahvé qui est juste, moi et mon peuple, nous sommes coupables.
- Priez Yahvé. Il y a eu assez de tonnerre et de grêle. Je m'engage à vous laisser partir et vous ne resterez pas plus longtemps. "
- Moïse lui dit : " Quand je sortirai de la ville, j'étendrai les mains vers Yahvé, le tonnerre cessera et il n'y aura plus de grêle, afin que tu saches que la terre est à Yahvé.
- Mais ni toi ni tes serviteurs, je le sais bien, vous ne craindrez encore Yahvé Dieu. "
- Le lin et l'orge furent abattus, car l'orge était en épis et le lin en fleur.
- Le froment et l'épeautre ne furent pas abattus car ils sont tardifs.
- Moïse sortit de chez Pharaon et de la ville ; il étendit les mains vers Yahvé ; le tonnerre et la grêle cessèrent, et la pluie ne se déversa plus sur la terre.
- Quand Pharaon vit que la pluie, la grêle et le tonnerre avaient cessé, il recommença à pécher, et lui et ses serviteurs appesantirent leur cur.
- Le cur de Pharaon s'endurcit et il ne laissa pas partir les Israélites, comme Yahvé l'avait prédit par Moïse.
- L’Éternel dit à Moïse : - Va trouver le pharaon et déclare-lui : « Voici ce qu’ordonne l’Éternel, le Dieu des Hébreux : Laisse aller mon peuple, pour qu’il me rende un culte !
- Si tu refuses encore de le laisser partir, si tu persistes à le retenir,
- l’Éternel interviendra contre ton bétail qui est dans les champs, contre les chevaux, les ânes, les chameaux, le gros et le petit bétail ; il leur enverra une grave épidémie.
- Mais l’Éternel fera une différence entre le bétail des Israélites et celui des Égyptiens : aucune bête appartenant aux Israélites ne mourra. »
- L’Éternel fixa une échéance en disant : - Demain je mettrai cela à exécution dans le pays.
- Le lendemain, en effet, l’Éternel fit ce qu’il avait dit : tout le bétail des Égyptiens périt, mais pas une bête des Israélites ne fut atteinte.
- Le pharaon envoya ses gens s’enquérir de la chose et l’on constata qu’aucune bête des Israélites n’avait péri. Malgré cela, le pharaon s’entêta et ne laissa pas partir le peuple.
Sixième fléau : les ulcères purulents
- L’Éternel dit à Moïse et à Aaron : - Prenez à pleines mains de la cendre d’un fourneau, et que Moïse la lance en l’air, sous les yeux du pharaon.
- Cette cendre se transformera en poussière qui se répandra sur toute l’Égypte. Hommes et bêtes en seront couverts et elle provoquera, dans tout le pays, des éruptions évoluant en ulcères purulents.
- Les deux hommes prirent de la cendre d’un fourneau et se présentèrent devant le pharaon. Moïse lança la cendre vers le ciel, et hommes et bêtes furent couverts d’éruptions évoluant en ulcères purulents.
- Les magiciens ne purent paraître devant Moïse, car eux aussi étaient couverts d’éruptions comme tous les Égyptiens.
- Mais l’Éternel fit que le pharaon s’obstine, de sorte que celui-ci n’écouta pas les deux hommes, comme l’Éternel l’avait dit à Moïse.
Septième fléau : la grêle
- L’Éternel ordonna à Moïse : - Va de bon matin te présenter devant le pharaon et dis-lui : « Voici ce que t’ordonne l’Éternel, le Dieu des Hébreux : Laisse aller mon peuple pour qu’il me rende un culte.
- Car cette fois-ci, je vais déchaîner toutes sortes de fléaux contre ta personne, contre tes hauts fonctionnaires et contre tes sujets, afin que tu saches que nul n’est semblable à moi sur toute la terre.
- J’aurais pu tout de suite te frapper de la peste, ainsi que tes sujets, et tu aurais déjà disparu de la terre !
- Mais voici pourquoi je t’ai laissé en vie : c’est pour te faire voir ma puissance et pour que ma renommée se répande par toute la terre.
- Tu persistes à t’opposer au départ de mon peuple.
- Soit ! Demain à la même heure, je ferai pleuvoir une grêle si violente qu’il n’y en a jamais eu de semblable dans toute l’histoire de l’Égypte.
- Maintenant, fais mettre à l’abri ton bétail et tout ce que tu as aux champs. Car tous ceux qui se trouveront en plein champ, qui n’auront pas regagné leur demeure, hommes ou bêtes, périront victimes de la grêle. »
- Ceux des hauts fonctionnaires du pharaon qui prirent au sérieux la parole de l’Éternel, firent mettre en hâte leurs serviteurs et leur bétail à l’abri dans leurs maisons.
- Mais ceux qui n’y prêtèrent pas attention laissèrent les leurs dans les champs.
- L’Éternel dit à Moïse : - Étends la main vers le ciel et que la grêle s’abatte sur toute l’Égypte, sur les hommes, les bêtes et toute la végétation dans le pays.
- Moïse leva son bâton vers le ciel et l’Éternel déchaîna le tonnerre et la grêle, et la foudre s’abattit sur la terre. L’Éternel fit tomber la grêle sur l’Égypte.
- Des éclairs jaillissaient au milieu de la grêle et la grêle était si violente qu’il n’y en avait jamais eu de semblable dans toute l’Égypte depuis que la nation existe.
- Dans l’ensemble du pays, la grêle frappa tout ce qui se trouvait aux champs, hommes ou bêtes. Elle hacha toute la végétation et brisa tous les arbres.
- Seule la région de Gochên où habitaient les Israélites fut épargnée.
- Alors le pharaon fit convoquer Moïse et Aaron et leur dit : - Cette fois-ci, je reconnais que j’ai péché. C’est l’Éternel qui est juste, moi et mon peuple nous sommes coupables !
- Priez l’Éternel de faire cesser le tonnerre et la grêle, et je vous laisserai partir, on ne vous retiendra pas davantage.
- Moïse dit : - En quittant la ville, je lèverai les mains vers l’Éternel pour prier. Le tonnerre cessera et la grêle s’arrêtera, afin que tu saches que la terre appartient à l’Éternel.
- Quant à toi et à tes hauts fonctionnaires, je sais que vous n’obéirez encore pas à l’Éternel Dieu.
- Le lin et l’orge avaient été détruits, car l’orge était en épis et le lin en fleurs,
- mais le blé et l’épeautre qui étaient plus tardifs n’avaient pas souffert.
- Moïse sortit de chez le pharaon. En quittant la ville, il leva les mains vers l’Éternel pour prier ; le tonnerre et la grêle cessèrent et la pluie arrêta de tomber.
- Quand le pharaon vit que la pluie, la grêle et le tonnerre avaient cessé, il persista dans son péché et s’entêta. Ses hauts fonctionnaires firent de même.
- Il s’obstina et ne laissa pas partir les Israélites, comme l’Éternel l’avait annoncé par l’intermédiaire de Moïse.
Cinquième fléau : l’épidémie parmi le bétail
Copyright © Société Biblique Internationale. Tous droits réservés.
וַיֹּ֤אמֶר יְהוָה֙ אֶל־מֹשֶׁ֔ה בֹּ֖א אֶל־פַּרְעֹ֑ה וְדִבַּרְתָּ֣ אֵלָ֗יו כֹּֽה־אָמַ֤ר יְהוָה֙ אֱלֹהֵ֣י הָֽעִבְרִ֔ים שַׁלַּ֥ח אֶת־עַמִּ֖י וְיַֽעַבְדֻֽנִי׃
Alors l'Eternel dit à Moïse : va vers Pharaon, et lui dis : ainsi a dit l'Eternel, le Dieu des Hébreux : laisse aller mon peuple, afin qu'ils me servent.
כִּ֛י אִם־מָאֵ֥ן אַתָּ֖ה לְשַׁלֵּ֑חַ וְעֹודְךָ֖ מַחֲזִ֥יק בָּֽם׃
Car si tu refuses de [les] laisser aller, et si tu les retiens encore,
הִנֵּ֨ה יַד־יְהוָ֜ה הֹויָ֗ה בְּמִקְנְךָ֙ אֲשֶׁ֣ר בַּשָּׂדֶ֔ה בַּסּוּסִ֤ים בַּֽחֲמֹרִים֙ בַּגְּמַלִּ֔ים בַּבָּקָ֖ר וּבַצֹּ֑אן דֶּ֖בֶר כָּבֵ֥ד מְאֹֽד׃
Voici, la main de l'Eternel sera sur ton bétail qui est aux champs, tant sur les chevaux, que sur les ânes, sur les chameaux, sur les bœufs, et sur les brebis, et il y aura une très-grande mortalité.
וְהִפְלָ֣ה יְהוָ֔ה בֵּ֚ין מִקְנֵ֣ה יִשְׂרָאֵ֔ל וּבֵ֖ין מִקְנֵ֣ה מִצְרָ֑יִם וְלֹ֥א יָמ֛וּת מִכָּל־לִבְנֵ֥י יִשְׂרָאֵ֖ל דָּבָֽר׃
Et l'Eternel distinguera le bétail des Israélites du bétail des Egyptiens, afin que rien de ce qui est aux enfants d'Israël ne meure.
וַיָּ֥שֶׂם יְהוָ֖ה מֹועֵ֣ד לֵאמֹ֑ר מָחָ֗ר יַעֲשֶׂ֧ה יְהוָ֛ה הַדָּבָ֥ר הַזֶּ֖ה בָּאָֽרֶץ׃
Et l'Eternel assigna un terme, en disant : demain l'Eternel fera ceci dans le pays.
וַיַּ֨עַשׂ יְהוָ֜ה אֶת־הַדָּבָ֤ר הַזֶּה֙ מִֽמָּחֳרָ֔ת וַיָּ֕מָת כֹּ֖ל מִקְנֵ֣ה מִצְרָ֑יִם וּמִמִּקְנֵ֥ה בְנֵֽי־יִשְׂרָאֵ֖ל לֹא־מֵ֥ת אֶחָֽד׃
L'Eternel donc fit cela dès le lendemain; et tout le bétail des Egyptiens mourut. Mais du bétail des enfants d'Israël, il n'en mourut pas une seule [bête].
וַיִּשְׁלַ֣ח פַּרְעֹ֔ה וְהִנֵּ֗ה לֹא־מֵ֛ת מִמִּקְנֵ֥ה יִשְׂרָאֵ֖ל עַד־אֶחָ֑ד וַיִּכְבַּד֙ לֵ֣ב פַּרְעֹ֔ה וְלֹ֥א שִׁלַּ֖ח אֶת־הָעָֽם׃ פ
Et Pharaon envoya [examiner], et voici, il n'y avait pas une seule [bête] morte du bétail des enfants d'Israël. Toutefois le cœur de Pharaon s'endurcit; et il ne laissa point aller le peuple.
וַיֹּ֣אמֶר יְהוָה֮ אֶל־מֹשֶׁ֣ה וְאֶֽל־אַהֲרֹן֒ קְח֤וּ לָכֶם֙ מְלֹ֣א חָפְנֵיכֶ֔ם פִּ֖יחַ כִּבְשָׁ֑ן וּזְרָקֹ֥ו מֹשֶׁ֛ה הַשָּׁמַ֖יְמָה לְעֵינֵ֥י פַרְעֹֽה׃
Alors l'Eternel dit à Moïse et à Aaron : prenez plein vos mains de cendres de fournaise; et que Moïse les répande vers les cieux en la présence de Pharaon.
וְהָיָ֣ה לְאָבָ֔ק עַ֖ל כָּל־אֶ֣רֶץ מִצְרָ֑יִם וְהָיָ֨ה עַל־הָאָדָ֜ם וְעַל־הַבְּהֵמָ֗ה לִשְׁחִ֥ין פֹּרֵ֛חַ אֲבַעְבֻּעֹ֖ת בְּכָל־אֶ֥רֶץ מִצְרָֽיִם׃
Et elles deviendront de la poussière sur tout le pays d'Egypte, et il s'en fera des ulcères bourgeonnant en pustules tant sur les hommes que sur les bêtes, dans tout le pays d'Egypte.
וַיִּקְח֞וּ אֶת־פִּ֣יחַ הַכִּבְשָׁ֗ן וַיַּֽעַמְדוּ֙ לִפְנֵ֣י פַרְעֹ֔ה וַיִּזְרֹ֥ק אֹתֹ֛ו מֹשֶׁ֖ה הַשָּׁמָ֑יְמָה וַיְהִ֗י שְׁחִין֙ אֲבַעְבֻּעֹ֔ת פֹּרֵ֕חַ בָּאָדָ֖ם וּבַבְּהֵמָֽה׃
Ils prirent donc de la cendre de fournaise, et se tinrent devant Pharaon; et Moïse la répandit vers les cieux; et il s'en forma des ulcères bourgeonnant en pustules, tant aux hommes qu'aux bêtes.
וְלֹֽא־יָכְל֣וּ הַֽחַרְטֻמִּ֗ים לַעֲמֹ֛ד לִפְנֵ֥י מֹשֶׁ֖ה מִפְּנֵ֣י הַשְּׁחִ֑ין כִּֽי־הָיָ֣ה הַשְּׁחִ֔ין בַּֽחֲרְטֻמִּ֖ם וּבְכָל־מִצְרָֽיִם׃
Et les magiciens ne purent se tenir devant Moïse, à cause des ulcères; car les magiciens avaient des ulcères, comme tous les Egyptiens.
וַיְחַזֵּ֤ק יְהוָה֙ אֶת־לֵ֣ב פַּרְעֹ֔ה וְלֹ֥א שָׁמַ֖ע אֲלֵהֶ֑ם כַּאֲשֶׁ֛ר דִּבֶּ֥ר יְהוָ֖ה אֶל־מֹשֶֽׁה׃ ס
Et l'Eternel endurcit le cœur de Pharaon, et il ne les écouta point selon que l'Eternel en avait parlé à Moïse.
וַיֹּ֤אמֶר יְהוָה֙ אֶל־מֹשֶׁ֔ה הַשְׁכֵּ֣ם בַּבֹּ֔קֶר וְהִתְיַצֵּ֖ב לִפְנֵ֣י פַרְעֹ֑ה וְאָמַרְתָּ֣ אֵלָ֗יו כֹּֽה־אָמַ֤ר יְהוָה֙ אֱלֹהֵ֣י הָֽעִבְרִ֔ים שַׁלַּ֥ח אֶת־עַמִּ֖י וְיַֽעַבְדֻֽנִי׃
Puis l'Eternel dit à Moïse : lève-toi de bon matin, et te présente devant Pharaon, et lui dit : ainsi a dit l'Eternel, le Dieu des Hébreux : laisse aller mon peuple, afin qu'ils me servent.
כִּ֣י ׀ בַּפַּ֣עַם הַזֹּ֗את אֲנִ֨י שֹׁלֵ֜חַ אֶת־כָּל־מַגֵּפֹתַי֙ אֶֽל־לִבְּךָ֔ וּבַעֲבָדֶ֖יךָ וּבְעַמֶּ֑ךָ בַּעֲב֣וּר תֵּדַ֔ע כִּ֛י אֵ֥ין כָּמֹ֖נִי בְּכָל־הָאָֽרֶץ׃
Car à cette fois je vais faire venir toutes mes plaies dans ton cœur; et sur tes serviteurs, et sur ton peuple; afin que tu saches qu'il n'y a nul [Dieu] semblable à moi en toute la terre.
כִּ֤י עַתָּה֙ שָׁלַ֣חְתִּי אֶת־יָדִ֔י וָאַ֥ךְ אֹותְךָ֛ וְאֶֽת־עַמְּךָ֖ בַּדָּ֑בֶר וַתִּכָּחֵ֖ד מִן־הָאָֽרֶץ׃
Car maintenant si j'eusse étendu ma main, je t'eusse frappé de mortalité, toi et ton peuple, et tu eusses été effacé de la terre.
וְאוּלָ֗ם בַּעֲב֥וּר זֹאת֙ הֶעֱמַדְתִּ֔יךָ בַּעֲב֖וּר הַרְאֹתְךָ֣ אֶת־כֹּחִ֑י וּלְמַ֛עַן סַפֵּ֥ר שְׁמִ֖י בְּכָל־הָאָֽרֶץ׃
Mais certainement je t'ai fait subsister pour ceci, afin de faire voir en toi ma puissance, et afin que mon nom soit célébré par toute la terre.
עֹודְךָ֖ מִסְתֹּולֵ֣ל בְּעַמִּ֑י לְבִלְתִּ֖י שַׁלְּחָֽם׃
T'élèves-tu encore contre mon peuple, pour ne le laisser point aller?
הִנְנִ֤י מַמְטִיר֙ כָּעֵ֣ת מָחָ֔ר בָּרָ֖ד כָּבֵ֣ד מְאֹ֑ד אֲשֶׁ֨ר לֹא־הָיָ֤ה כָמֹ֙הוּ֙ בְּמִצְרַ֔יִם לְמִן־הַיֹּ֥ום הִוָּסְדָ֖ה וְעַד־עָֽתָּה׃
Voici, je m'en vais faire pleuvoir demain à cette même heure une grosse grêle, à laquelle il n'y en a point eu de semblable en Egypte, depuis le jour qu'elle a été fondée jusques à maintenant.
וְעַתָּ֗ה שְׁלַ֤ח הָעֵז֙ אֶֽת־מִקְנְךָ֔ וְאֵ֛ת כָּל־אֲשֶׁ֥ר לְךָ֖ בַּשָּׂדֶ֑ה כָּל־הָאָדָ֨ם וְהַבְּהֵמָ֜ה אֲשֶֽׁר־יִמָּצֵ֣א בַשָּׂדֶ֗ה וְלֹ֤א יֵֽאָסֵף֙ הַבַּ֔יְתָה וְיָרַ֧ד עֲלֵהֶ֛ם הַבָּרָ֖ד וָמֵֽתוּ׃
Maintenant donc envoie rassembler ton bétail, et tout ce que tu as à la campagne; car la grêle tombera sur tous les hommes, et sur le bétail qui se trouvera à la campagne, et qu'on n'aura pas renfermé, et ils mourront.
הַיָּרֵא֙ אֶת־דְּבַ֣ר יְהוָ֔ה מֵֽעַבְדֵ֖י פַּרְעֹ֑ה הֵנִ֛יס אֶת־עֲבָדָ֥יו וְאֶת־מִקְנֵ֖הוּ אֶל־הַבָּתִּֽים׃
Celui des serviteurs de Pharaon, qui craignit la parole de l'Eternel, fit promptement retirer dans les maisons ses serviteurs et ses bêtes.
וַאֲשֶׁ֥ר לֹא־שָׂ֛ם לִבֹּ֖ו אֶל־דְּבַ֣ר יְהוָ֑ה וַֽיַּעֲזֹ֛ב אֶת־עֲבָדָ֥יו וְאֶת־מִקְנֵ֖הוּ בַּשָּׂדֶֽה׃ פ
Mais celui qui n'appliqua point son cœur à la parole de l'Eternel, laissa ses serviteurs et ses bêtes à la campagne.
וַיֹּ֨אמֶר יְהוָ֜ה אֶל־מֹשֶׁה נְטֵ֤ה אֶת־יָֽדְךָ֙ עַל־הַשָּׁמַ֔יִם וִיהִ֥י בָרָ֖ד בְּכָל־אֶ֣רֶץ מִצְרָ֑יִם עַל־הָאָדָ֣ם וְעַל־הַבְּהֵמָ֗ה וְעַ֛ל כָּל־עֵ֥שֶׂב הַשָּׂדֶ֖ה בְּאֶ֥רֶץ מִצְרָֽיִם׃
Et l'Eternel dit à Moïse : étends ta main vers les cieux, et il y aura de la grêle en tout le pays d'Egypte, sur les hommes, et sur les bêtes, et sur toutes les herbes des champs au pays d'Egypte.
וַיֵּ֨ט מֹשֶׁ֣ה אֶת־מַטֵּהוּ֮ עַל־הַשָּׁמַיִם֒ וַֽיהוָ֗ה נָתַ֤ן קֹלֹת֙ וּבָרָ֔ד וַתִּ֥הֲלַךְ אֵ֖שׁ אָ֑רְצָה וַיַּמְטֵ֧ר יְהוָ֛ה בָּרָ֖ד עַל־אֶ֥רֶץ מִצְרָֽיִם׃
Moïse donc étendit sa verge vers les cieux, et l'Eternel envoya des tonnerres et de la grêle, et le feu se promenait sur la terre. L'Eternel fit donc pleuvoir de la grêle sur le pays d'Egypte.
וַיְהִ֣י בָרָ֔ד וְאֵ֕שׁ מִתְלַקַּ֖חַת בְּתֹ֣וךְ הַבָּרָ֑ד כָּבֵ֣ד מְאֹ֔ד אֲ֠שֶׁר לֹֽא־הָיָ֤ה כָמֹ֙הוּ֙ בְּכָל־אֶ֣רֶץ מִצְרַ֔יִם מֵאָ֖ז הָיְתָ֥ה לְגֹֽוי׃
Il y eut donc de la grêle et du feu entremêlé avec la grêle, laquelle était si grosse qu'il n'y en avait point eu de semblable en toute la terre d'Egypte, depuis qu'elle a été habitée.
וַיַּ֨ךְ הַבָּרָ֜ד בְּכָל־אֶ֣רֶץ מִצְרַ֗יִם אֵ֚ת כָּל־אֲשֶׁ֣ר בַּשָּׂדֶ֔ה מֵאָדָ֖ם וְעַד־בְּהֵמָ֑ה וְאֵ֨ת כָּל־עֵ֤שֶׂב הַשָּׂדֶה֙ הִכָּ֣ה הַבָּרָ֔ד וְאֶת־כָּל־עֵ֥ץ הַשָּׂדֶ֖ה שִׁבֵּֽר׃
Et la grêle frappa dans tout le pays d'Egypte tout ce qui était aux champs, depuis les hommes jusqu'aux bêtes. La grêle frappa aussi toutes les herbes des champs, et brisa tous les arbres des champs.
רַ֚ק בְּאֶ֣רֶץ גֹּ֔שֶׁן אֲשֶׁר־שָׁ֖ם בְּנֵ֣י יִשְׂרָאֵ֑ל לֹ֥א הָיָ֖ה בָּרָֽד׃
Il n'y eut que la contrée de Goscen, dans laquelle étaient les enfants d'Israël, [où] il n'y eut point de grêle.
וַיִּשְׁלַ֣ח פַּרְעֹ֗ה וַיִּקְרָא֙ לְמֹשֶׁ֣ה וּֽלְאַהֲרֹ֔ן וַיֹּ֥אמֶר אֲלֵהֶ֖ם חָטָ֣אתִי הַפָּ֑עַם יְהוָה֙ הַצַּדִּ֔יק וַאֲנִ֥י וְעַמִּ֖י הָרְשָׁעִֽים׃
Alors Pharaon envoya appeler Moïse et Aaron, et leur dit : J'ai péché cette fois; l'Eternel est juste, mais moi et mon peuple sommes méchants.
הַעְתִּ֙ירוּ֙ אֶל־יְהוָ֔ה וְרַ֕ב מִֽהְיֹ֛ת קֹלֹ֥ת אֱלֹהִ֖ים וּבָרָ֑ד וַאֲשַׁלְּחָ֣ה אֶתְכֶ֔ם וְלֹ֥א תֹסִפ֖וּן לַעֲמֹֽד׃
Fléchissez par prières l'Eternel; que ce [soit] assez; [et] que Dieu ne fasse plus tonner ni grêler, car je vous laisserai aller, et on ne vous arrêtera plus.
וַיֹּ֤אמֶר אֵלָיו֙ מֹשֶׁ֔ה כְּצֵאתִי֙ אֶת־הָעִ֔יר אֶפְרֹ֥שׂ אֶת־כַּפַּ֖י אֶל־יְהוָ֑ה הַקֹּלֹ֣ות יֶחְדָּל֗וּן וְהַבָּרָד֙ לֹ֣א יִֽהְיֶה־עֹ֔וד לְמַ֣עַן תֵּדַ֔ע כִּ֥י לַיהוָ֖ה הָאָֽרֶץ׃
Alors Moïse dit : aussitôt que je serai sorti de la ville j'étendrai mes mains vers l'Eternel [et] les tonnerres cesseront, et il n'y aura plus de grêle, afin que tu saches que la terre est à l'Eternel.
וְאַתָּ֖ה וַעֲבָדֶ֑יךָ יָדַ֕עְתִּי כִּ֚י טֶ֣רֶם תִּֽירְא֔וּן מִפְּנֵ֖י יְהוָ֥ה אֱלֹהִֽים׃
Mais quant à toi et à tes serviteurs, je sais que vous ne craindrez pas encore l'Eternel Dieu.
וְהַפִּשְׁתָּ֥ה וְהַשְּׂעֹרָ֖ה נֻכָּ֑תָה כִּ֤י הַשְּׂעֹרָה֙ אָבִ֔יב וְהַפִּשְׁתָּ֖ה גִּבְעֹֽל׃
Or le lin et l'orge avaient été frappés, car l'orge était en épis et le lin était en tuyau.
וְהַחִטָּ֥ה וְהַכֻּסֶּ֖מֶת לֹ֣א נֻכּ֑וּ כִּ֥י אֲפִילֹ֖ת הֵֽנָּה׃
Mais le blé et l'épeautre ne furent point frappés, parce qu'ils étaient cachés.
וַיֵּצֵ֨א מֹשֶׁ֜ה מֵעִ֤ם פַּרְעֹה֙ אֶת־הָעִ֔יר וַיִּפְרֹ֥שׂ כַּפָּ֖יו אֶל־יְהוָ֑ה וַֽיַּחְדְּל֤וּ הַקֹּלֹות֙ וְהַבָּרָ֔ד וּמָטָ֖ר לֹא־נִתַּ֥ךְ אָֽרְצָה׃
Moïse donc étant sorti d'avec Pharaon hors de la ville étendit ses mains vers l'Eternel, et les tonnerres cessèrent, et la grêle et la pluie ne tombèrent plus sur la terre.
וַיַּ֣רְא פַּרְעֹ֗ה כִּֽי־חָדַ֨ל הַמָּטָ֧ר וְהַבָּרָ֛ד וְהַקֹּלֹ֖ת וַיֹּ֣סֶף לַחֲטֹ֑א וַיַּכְבֵּ֥ד לִבֹּ֖ו ה֥וּא וַעֲבָדָֽיו׃
Et Pharaon voyant que la pluie, la grêle, et les tonnerres avaient cessé, continua encore à pécher, et il endurcit son cœur, lui et ses serviteurs.
וַֽיֶּחֱזַק֙ לֵ֣ב פַּרְעֹ֔ה וְלֹ֥א שִׁלַּ֖ח אֶת־בְּנֵ֣י יִשְׂרָאֵ֑ל כַּאֲשֶׁ֛ר דִּבֶּ֥ר יְהוָ֖ה בְּיַד־מֹשֶֽׁה׃ פ
Le cœur donc de Pharaon s'endurcit, et il ne laissa point aller les enfants d'Israël; selon que l'Eternel [en] avait parlé par le moyen de Moïse.
La Bible David Martin 1744.
Audio: ℗ Talking Bibles.
- Yahweh dit à Moïse : " Va vers Pharaon et dis-lui : Ainsi parle Yahweh, le Dieu des Hébreux : Laisse aller mon peuple, afin qu'il me serve.
- Si tu refuses de le laisser aller, et si tu le retiens encore,
- voici que la main de Yahweh sera sur tes troupeaux qui sont dans les champs, sur les chevaux, sur les ânes, sur les chameaux, sur les bœufs et sur les brebis : ce sera une peste très meurtrière.
- Yahweh fera une distinction entre les troupeaux d'Israël et les troupeaux des Egyptiens, et il ne périra rien de tout ce qui appartient aux enfants d'Israël. "
- Yahweh fixa le moment, en disant : " Demain Yahweh fera cela dans le pays. "
- Et Yahweh fit ainsi dès le lendemain. Tout le bétail des Egyptiens périt, et il ne mourut pas une bête des troupeaux des enfants d'Israël.
- Pharaon prit des informations, et voici, pas une bête des troupeaux d'Israël n'avait péri. Mais le cœur de Pharaon s'endurcit, et il ne laissa pas aller le peuple.
- Yahweh dit à Moïse et à Aaron : " Prenez plein vos mains de cendre de fournaise, et que Moïse la jette vers le ciel sous les yeux de Pharaon ;
- qu'elle devienne une fine poussière sur tout le pays d'Egypte, et qu'elle forme, dans tout le pays d'Egypte, sur les hommes et sur les animaux, des tumeurs bourgeonnant en pustules. "
- Ils prirent de la cendre de fournaise et se présentèrent devant Pharaon ; Moïse la jeta vers le ciel, et elle produisit sur les hommes et sur les animaux des tumeurs bourgeonnant en pustules.
- Les magiciens ne purent se tenir devant Moïse à cause des tumeurs, car les tumeurs étaient sur les magiciens, comme sur tous les Egyptiens.
- Et Yahweh endurcit le cœur de Pharaon, et Pharaon n'écouta pas Moïse et Aaron, selon que Yahweh l'avait dit à Moïse.
- Yahweh dit à Moïse : " Lève-toi de bon matin et présente-toi devant Pharaon ; tu lui diras : Ainsi parle Yahweh, Dieu des Hébreux : Laisse aller mon peuple, afin qu'il me serve.
- Car, cette fois, je vais envoyer tous mes fléaux contre ton cœur, ainsi que sur tes serviteurs et sur ton peuple, afin que tu saches que nul n'est semblable à moi par toute la terre.
- Si j'avais étendu ma main et que je t'eusse frappé de la peste, toi et ton peuple, tu aurais été effacé de la terre.
- Mais à cette fin je t'ai laissé subsister, afin que tu voies ma puissance, et qu'on célèbre mon nom par toute la terre.
- Tu te mets encore comme une barrière devant mon peuple pour ne pas le laisser aller !
- Voici que, demain, à cette heure, je ferai pleuvoir une grêle si forte, qu'il n'y en a pas eu de semblable en Egypte depuis le jour où elle a été fondée jusqu'à présent.
- Et maintenant fais mettre en sûreté ton bétail et tout ce que tu as dans les champs ; car tous les hommes et tous les animaux qui se trouveront dans les champs et qui ne seront pas ramenés dans les maisons seront frappés de la grêle et périront. "
- Ceux des serviteurs de Pharaon qui craignirent la parole de Yahweh firent retirer dans les maisons leurs serviteurs et leurs troupeaux.
- Mais ceux qui n'appliquèrent pas leur cœur à la parole de Yahweh laissèrent leurs serviteurs et leurs troupeaux dans les champs.
- Yahweh dit à Moïse : " Etends ta main vers le ciel, afin qu'il tombe de la grêle dans tout le pays d'Egypte sur les hommes, sur les animaux et sur toutes les herbes des champs. "
- Moïse étendit son bâton vers le ciel, et Yahweh envoya le tonnerre et la grêle, et le feu se précipitait sur la terre. Yahweh fit pleuvoir de la grêle sur le pays d'Egypte.
- Il tomba de la grêle et du feu mêlé à la grêle ; elle était si forte qu'il n'y en avait point eu de semblable dans tout le pays d'Egypte, depuis qu'il forme une nation.
- La grêle frappa, dans tout le pays d'Egypte, tout ce qui était dans les champs, depuis les hommes jusqu'aux animaux ; la grêle frappa aussi toutes les herbes des champs et brisa tous les arbres des champs.
- Il n'y eut que dans le pays de Gessen, où étaient les enfants d'Israël, qu'il ne tomba pas de grêle.
- Pharaon fit appeler Moïse et Aaron, et leur dit : " Cette fois, j'ai péché ; c'est Yahweh qui est juste, et moi et mon peuple qui sommes coupables.
- Priez Yahweh, pour qu'il n'y ait plus de tonnerres et de grêle, et je vous laisserai aller et l'on ne vous retiendra plus. "
- Moïse lui dit : " En sortant de la ville, je lèverai mes mains vers Yahweh, et les tonnerres cesseront, et il n'y aura plus de grêle, afin que tu saches que la terre est à Yahweh.
- Mais je sais que toi et tes serviteurs, vous ne craindrez pas encore Yahweh Dieu. "
- Le lin et l'orge avaient été frappés, car l'orge était en épis et le lin en fleurs ;
- mais le froment et l'épeautre n'avaient pas été frappés, parce qu'ils sont tardifs.
- Moïse quitta Pharaon et sortit de la ville ; il leva ses mains vers Yahweh, et les tonnerres et la grêle cessèrent, et la pluie ne tomba plus sur la terre.
- Pharaon, voyant que la pluie, la grêle et les tonnerres avaient cessé, continua de pécher,
- et il appesantit son cœur, lui et ses serviteurs. Le cœur de Pharaon s'endurcit, et il ne laissa pas aller les enfants d'Israël, selon que Yahweh l'avait dit par l'intermédiaire de Moïse.
Blog Le nouveau testament (Home page)
Raccourcis clavier
Commentaires
Enregistrer un commentaire