Ezéchiel chapitre 1
- La trentième année, le cinquième jour du quatrième mois, comme j’étais parmi les captifs du fleuve du Kebar, les cieux s’ouvrirent, et j’eus des visions divines.
- Le cinquième jour du mois, c’était la cinquième année de la captivité du roi Jojakin, —
- la parole de l’Éternel fut adressée à Ézéchiel, fils de Buzi, le sacrificateur, dans le pays des Chaldéens, près du fleuve du Kebar ; et c’est là que la main de l’Éternel fut sur lui.
- Je regardai, et voici, il vint du septentrion un vent impétueux, une grosse nuée, et une gerbe de feu, qui répandait de tous côtés une lumière éclatante, au centre de laquelle brillait comme de l’airain poli, sortant du milieu du feu.
- Au centre encore, apparaissaient quatre animaux, dont l’aspect avait une ressemblance humaine.
- Chacun d’eux avait quatre faces, et chacun avait quatre ailes.
- Leurs pieds étaient droits, et la plante de leurs pieds était comme celle du pied d’un veau, ils étincelaient comme de l’airain poli.
- Ils avaient des mains d’homme sous les ailes à leurs quatre côtés ; et tous les quatre avaient leurs faces et leurs ailes.
- Leurs ailes étaient jointes l’une à l’autre ; ils ne se tournaient point en marchant, mais chacun marchait droit devant soi.
- Quand à la figure de leurs faces, ils avaient tous une face d’homme, tous quatre une face de lion à droite, tous quatre une face de bœuf à gauche, et tous quatre une face d’aigle.
- Leurs faces et leurs ailes étaient séparées par le haut ; deux de leurs ailes étaient jointes l’une à l’autre, et deux couvraient leurs corps.
- Chacun marchait droit devant soi ; ils allaient où l’esprit les poussait à aller, et ils ne se tournaient point dans leur marche.
- L’aspect de ces animaux ressemblait à des charbons de feu ardents, c’était comme l’aspect des flambeaux, et ce feu circulait entre les animaux ; il jetait une lumière éclatante, et il en sortait des éclairs.
- Et les animaux couraient et revenaient comme la foudre.
- Je regardais ces animaux ; et voici, il y avait une roue sur la terre, près des animaux, devant leurs quatre faces.
- À leur aspect et à leur structure, ces roues semblaient être en chrysolithe, et toutes les quatre avaient la même forme ; leur aspect et leur structure étaient tels que chaque roue paraissait être au milieu d’une autre roue.
- En cheminant, elles allaient de leurs quatre côtés, et elles ne se tournaient point dans leur marche.
- Elles avaient une circonférence et une hauteur effrayantes, et à leur circonférence les quatre roues étaient remplies d’yeux tout autour.
- Quand les animaux marchaient, les roues cheminaient à côté d’eux ; et quand les animaux s’élevaient de terre, les roues s’élevaient aussi.
- Ils allaient où l’esprit les poussait à aller ; et les roues s’élevaient avec eux, car l’esprit des animaux était dans les roues.
- Quand ils marchaient, elles marchaient ; quand ils s’arrêtaient, elles s’arrêtaient ; quand ils s’élevaient de terre, les roues s’élevaient avec eux, car l’esprit des animaux était dans les roues.
- Au-dessus des têtes des animaux, il y avait comme un ciel de cristal resplendissant, qui s’étendait sur leurs têtes dans le haut.
- Sous ce ciel, leurs ailes étaient droites l’une contre l’autre, et ils en avaient chacun deux qui les couvraient, chacun deux qui couvraient leurs corps.
- J’entendis le bruit de leurs ailes, quand ils marchaient, pareil au bruit de grosses eaux, ou à la voix du Tout Puissant ; c’était un bruit tumultueux, comme celui d’une armée ; quand ils s’arrêtaient, ils laissaient tomber leurs ailes.
- Et il se faisait un bruit qui partait du ciel étendu sur leurs têtes, lorsqu’ils s’arrêtaient et laissaient tomber leurs ailes.
- Au-dessus du ciel qui était sur leurs têtes, il y avait quelque chose de semblable à une pierre de saphir, en forme de trône ; et sur cette forme de trône apparaissait comme une figure d’homme placé dessus en haut.
- Je vis encore comme de l’airain poli, comme du feu, au dedans duquel était cet homme, et qui rayonnait tout autour ; depuis la forme de ses reins jusqu’en haut, et depuis la forme de ses reins jusqu’en bas, je vis comme du feu, et comme une lumière éclatante, dont il était environné.
- Tel l’aspect de l’arc qui est dans la nue en un jour de pluie, ainsi était l’aspect de cette lumière éclatante, qui l’entourait : c’était une image de la gloire de l’Éternel. À cette vue, je tombai sur ma face, et j’entendis la voix de quelqu’un qui parlait.
Jugement de Jérusalem
Vision de la gloire de l’Eternel
- La trentième année, au quatrième mois, le cinq du mois, alors que je me trouvais parmi les déportés au bord du fleuve Kebar, le ciel s'ouvrit et je fus témoin de visions divines.
- Le cinq du mois - c'était la cinquième année d'exil du roi Joiakîn -
- la parole de Yahvé fut adressée au prêtre Ézéchiel, fils de Buzi, au pays des Chaldéens, au bord du fleuve Kebar. C'est là que la main de Yahvé fut sur lui.
- Je regardai : c'était un vent de tempête soufflant du nord, un gros nuage, un feu jaillissant, avec une lueur autour, et au centre comme l'éclat du vermeil au milieu du feu.
- Au centre, je discernai quelque chose qui ressemblait à quatre animaux dont voici l'aspect : ils avaient une forme humaine.
- Ils avaient chacun quatre faces et chacun quatre ailes.
- Leurs jambes étaient droites et leurs sabots étaient comme des sabots de buf, étincelants comme l'éclat de l'airain poli.
- Sous leurs ailes, il y avait des mains humaines tournées vers les quatre directions, de même que leurs faces et leurs ailes à eux quatre.
- Leurs ailes étaient jointes l'une à l'autre; ils ne se tournaient pas en marchant : ils allaient chacun devant soi.
- Quant à la forme de leurs faces, ils avaient une face d'homme, et tous les quatre avaient une face de lion à droite, et tous les quatre avaient une face de taureau à gauche, et tous les quatre avaient une face d'aigle.
- Leurs ailes étaient déployées vers le haut; chacun avait deux ailes se joignant et deux ailes lui couvrant le corps;
- et ils allaient chacun devant soi; ils allaient là où l'esprit les poussait, ils ne se tournaient pas en marchant.
- Au milieu des animaux, il y avait quelque chose comme des charbons ardents ayant l'aspect de torches, allant et venant entre les animaux; le feu jetait une lueur, et du feu sortaient des éclairs.
- Les animaux allaient et venaient, semblables à l'éclair.
- Je regardai les animaux; et voici qu'il y avait une roue à terre, à côté des animaux aux quatre faces.
- L'aspect de ces roues et leur structure avait l'éclat de la chrysolite. Toutes les quatre avaient même forme; quant à leur aspect et leur structure : c'était comme si une roue se trouvait au milieu de l'autre.
- Elles avançaient dans les quatre directions et ne se tournaient pas en marchant.
- Leur circonférence était de grande taille et effrayante, et leur circonférence, à toutes les quatre, était pleine de reflets tout autour.
- Lorsque les animaux avançaient, les roues avançaient à côté d'eux, et lorsque les animaux s'élevaient de terre, les roues s'élevaient.
- Là où l'esprit les poussait, les roues allaient, et elles s'élevaient également, car l'esprit de l'animal était dans les roues.
- Quand ils avançaient, elles avançaient, quand ils s'arrêtaient, elles s'arrêtaient, et quand ils s'élevaient de terre, les roues s'élevaient également, car l'esprit de l'animal était dans les roues.
- Il y avait sur les têtes de l'animal quelque chose qui ressemblait à une voûte, éclatante comme le cristal, tendue sur leurs têtes, au-dessus,
- et sous la voûte, leurs ailes étaient dressées l'une vers l'autre; chacun en avait deux lui couvrant le corps.
- Et j'entendis le bruit de leurs ailes, comme un bruit d'eaux abondantes, comme la voix de Shaddaï; lorsqu'ils marchaient, c'était un bruit de tempête, comme un bruit de camp; lorsqu'ils s'arrêtaient, ils repliaient leurs ailes.
- Et il se produisit un bruit.
- Au-dessus de la voûte qui était sur leurs têtes, il y avait quelque chose qui avait l'aspect d'une pierre de saphir en forme de trône, et sur cette forme de trône, dessus, tout en haut, un être ayant apparence humaine.
- Et je vis comme l'éclat du vermeil, quelque chose comme du feu près de lui, tout autour, depuis ce qui paraissait être ses reins et au-dessus; et depuis ce qui paraissait être ses reins et au-dessous, je vis quelque chose comme du feu et une lueur tout autour;
- l'aspect de cette lueur, tout autour, était comme l'aspect de l'arc qui apparaît dans les nuages, les jours de pluie. C'était quelque chose qui ressemblait à la gloire de Yahvé. Je regardai, et je tombai la face contre terre; et j'entendis la voix de quelqu'un qui me parlait.
- Le cinquième jour du quatrième mois de la trentième année, je me trouvais parmi les déportés, près du fleuve Kebar. Le ciel s’ouvrit et Dieu m’envoya des visions.
- Le cinquième jour du mois de cette année-là, c’est-à-dire la cinquième année de la captivité du roi Yehoyakîn,
- l’Éternel adressa la parole à Ézéchiel, fils du prêtre Bouzi, au pays des Chaldéens, près du fleuve Kebar. Là, la main de l’Éternel se posa sur lui.
Ézéchiel contemple la gloire de Dieu
- Je vis soudain un vent de tempête venant du nord qui poussait devant lui un énorme nuage sillonné d’éclairs. Ce nuage était entouré d’une clarté éblouissante. En son centre, il y avait l’éclat d’un métal au milieu du feu.
- En son milieu, je distinguais quelque chose qui ressemblait à quatre êtres vivants ; par leur aspect, ils ressemblaient à des hommes.
- Chacun d’eux avait quatre faces et quatre ailes.
- Leurs jambes étaient droites ; leurs pieds étaient comme ceux d’un taureau et brillaient comme du bronze poli.
- Sous leurs ailes apparaissaient des mains humaines qui étaient tournées dans les quatre directions, de même que leurs faces et leurs ailes à tous les quatre.
- Leurs ailes se touchaient l’une l’autre par leurs extrémités. Quand ils se déplaçaient, ils ne se tournaient pas, mais chacun avançait droit devant soi.
- Leurs faces ressemblaient à celle d’un homme, et ils avaient tous les quatre une face de lion à droite, une face de taureau à gauche, et une face d’aigle.
- Chacun d’eux avait deux paires d’ailes : deux de ces ailes se déployaient vers le haut et touchaient celles des autres, les deux autres couvraient leurs corps.
- Chacun d’eux avançait droit devant soi, ils allaient là où l’Esprit les poussait à aller sans qu’aucun d’eux ne se tourne.
- Ces êtres vivants avaient l’aspect de braises incandescentes : ils paraissaient embrasés comme des torches brillantes. Le feu courait entre ces êtres vivants ; ils avaient l’éclat du feu et des éclairs jaillissaient de ce feu.
- Ces êtres couraient, allant et venant en tous sens, comme des éclairs.
- En contemplant ces êtres vivants, j’aperçus à côté de chacun d’eux une roue qui touchait terre.
- Les quatre roues étaient pareilles : elles semblaient faites en chrysolithe et paraissaient encastrées l’une au milieu de l’autre.
- Elles pouvaient donc se déplacer dans les quatre directions sans pivoter.
- Les jantes des quatre roues étaient d’une dimension énorme et terrifiante. Elles étaient couvertes d’yeux sur toute leur circonférence.
- Quand les êtres vivants se déplaçaient, les roues se déplaçaient à côté d’eux, et quand ils s’élevaient de terre, elles s’élevaient aussi.
- Ils allaient là où l’Esprit les poussait à aller. Les roues s’élevaient en même temps qu’eux, car l’Esprit qui animait les êtres vivants animait aussi les roues.
- Quand les êtres vivants s’avançaient, se tenaient arrêtés ou s’élevaient de terre, les roues s’avançaient, se tenaient arrêtées ou s’élevaient de terre en même temps qu’eux, car l’Esprit qui animait les êtres vivants animait aussi les roues.
- Au-dessus de la tête de ces êtres vivants s’étendait quelque chose qui ressemblait à une étendue céleste et qui avait l’éclat éblouissant du cristal.
- Sous cette étendue, ils tendaient leurs ailes jusqu’à toucher celles de leurs voisins, et chacun en avait deux qui lui couvraient le corps.
- Quand ils se déplaçaient, j’entendais le bruit de leurs ailes, un bruit semblable au grondement de grosses eaux ou à la voix du Tout-Puissant, c’était un bruit de grand tumulte comme celui d’un campement guerrier. Quand ils s’arrêtaient, ils abaissaient leurs ailes.
- Alors une voix retentit au-dessus de l’étendue céleste qui surplombait leur tête.
- Par-dessus cette étendue apparaissait comme une pierre de saphir qui avait la forme d’un trône, et au-dessus de ce qui ressemblait à un trône, au point le plus élevé, se tenait un être ayant l’aspect d’un homme.
- Je vis que la partie supérieure de son corps, au-dessus de ce qui ressemblait à sa taille, avait l’éclat étincelant de l’airain et l’aspect du feu tout autour, et la partie inférieure semblait comme baignée de feu ; elle était inondée de clarté.
- La clarté qui l’environnait avait l’aspect de l’arc-en-ciel qui resplendit dans les nuées en un jour de pluie. C’est ainsi que m’apparut ce qui ressemblait à la gloire de l’Éternel. À cette vue, je tombai le visage contre terre, et j’entendis quelqu’un me parler.
Le jugement de Jérusalem
La vocation d’Ézéchiel
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וַיְהִ֣י ׀ בִּשְׁלֹשִׁ֣ים שָׁנָ֗ה בָּֽרְבִיעִי֙ בַּחֲמִשָּׁ֣ה לַחֹ֔דֶשׁ וַאֲנִ֥י בְתֹֽוךְ־הַגֹּולָ֖ה עַל־נְהַר־כְּבָ֑ר נִפְתְּחוּ֙ הַשָּׁמַ֔יִם וָאֶרְאֶ֖ה מַרְאֹ֥ות אֱלֹהִֽים׃
Or il arriva en la trentième année, au cinquième jour du quatrième mois, comme j'étais parmi ceux qui avaient été transportés sur le fleuve de Kébar, que les cieux furent ouverts, et je vis des visions de Dieu.
בַּחֲמִשָּׁ֖ה לַחֹ֑דֶשׁ הִ֚יא הַשָּׁנָ֣ה הַחֲמִישִׁ֔ית לְגָל֖וּת הַמֶּ֥לֶךְ יֹויָכִֽין׃
Au cinquième jour du mois de cette année, qui [fut] la cinquième après que le Roi Jéhojachin eut été mené en captivité,
הָיֹ֣ה הָיָ֣ה דְבַר־יְ֠הוָה אֶל־יְחֶזְקֵ֨אל בֶּן־בּוּזִ֧י הַכֹּהֵ֛ן בְּאֶ֥רֶץ כַּשְׂדִּ֖ים עַל־נְהַר־כְּבָ֑ר וַתְּהִ֥י עָלָ֛יו שָׁ֖ם יַד־יְהוָֽה׃
La parole de l'Eternel fut [adressée] expressément à Ezéchiel Sacrificateur, fils de Buzi, au pays des Caldéens, sur le fleuve de Kébar, et la main de l'Eternel [fut] là sur lui.
וָאֵ֡רֶא וְהִנֵּה֩ ר֨וּחַ סְעָרָ֜ה בָּאָ֣ה מִן־הַצָּפֹ֗ון עָנָ֤ן גָּדֹול֙ וְאֵ֣שׁ מִתְלַקַּ֔חַת וְנֹ֥גַֽהּ לֹ֖ו סָבִ֑יב וּמִ֨תֹּוכָ֔הּ כְּעֵ֥ין הַחַשְׁמַ֖ל מִתֹּ֥וךְ הָאֵֽשׁ׃
Je vis donc, et voici un vent de tempête qui venait de l'Aquilon, et une grosse nuée, et un feu s'entortillant; et il y avait autour de la [nuée] une splendeur, et au milieu de la [nuée paraissait] comme la couleur du Hasmal, [lorsqu'il sort] du feu.
וּמִ֨תֹּוכָ֔הּ דְּמ֖וּת אַרְבַּ֣ע חַיֹּ֑ות וְזֶה֙ מַרְאֵֽיהֶ֔ן דְּמ֥וּת אָדָ֖ם לָהֵֽנָּה׃
Et du milieu de cette [couleur de Hasmal paraissait] une ressemblance de quatre animaux, et c'était ici leur forme; ils avaient la ressemblance d'un homme;
וְאַרְבָּעָ֥ה פָנִ֖ים לְאֶחָ֑ת וְאַרְבַּ֥ע כְּנָפַ֖יִם לְאַחַ֥ת לָהֶֽם׃
Et chacun d'eux avait quatre faces, et chacun quatre ailes.
וְרַגְלֵיהֶ֖ם רֶ֣גֶל יְשָׁרָ֑ה וְכַ֣ף רַגְלֵיהֶ֗ם כְּכַף֙ רֶ֣גֶל עֵ֔גֶל וְנֹ֣צְצִ֔ים כְּעֵ֖ין נְחֹ֥שֶׁת קָלָֽל׃
Et leurs pieds étaient des pieds droits; et la plante de leurs pieds était comme la plante d'un pied de veau, et ils étincelaient comme la couleur d'un airain poli.
[וְיָדֹו כ] (וִידֵ֣י ק) אָדָ֗ם מִתַּ֙חַת֙ כַּנְפֵיהֶ֔ם עַ֖ל אַרְבַּ֣עַת רִבְעֵיהֶ֑ם וּפְנֵיהֶ֥ם וְכַנְפֵיהֶ֖ם לְאַרְבַּעְתָּֽם׃
Et il y avait des mains d'homme sous leurs ailes à leurs quatre côtés; [et] tous quatre avaient leurs faces et leurs ailes.
חֹֽבְרֹ֛ת אִשָּׁ֥ה אֶל־אֲחֹותָ֖הּ כַּנְפֵיהֶ֑ם לֹא־יִסַּ֣בּוּ בְלֶכְתָּ֔ן אִ֛ישׁ אֶל־עֵ֥בֶר פָּנָ֖יו יֵלֵֽכוּ׃
Leurs ailes étaient jointes l'une à l'autre; ils ne se tournaient point quand ils marchaient, mais chacun marchait vis-à-vis de soi.
וּדְמ֣וּת פְּנֵיהֶם֮ פְּנֵ֣י אָדָם֒ וּפְנֵ֨י אַרְיֵ֤ה אֶל־הַיָּמִין֙ לְאַרְבַּעְתָּ֔ם וּפְנֵי־שֹׁ֥ור מֵֽהַשְּׂמֹ֖אול לְאַרְבַּעְתָּ֑ן וּפְנֵי־נֶ֖שֶׁר לְאַרְבַּעְתָּֽן׃
Et la ressemblance de leurs faces était la face d'un homme, et la face d'un lion, à la main droite des quatre; et la face d'un bœuf à la gauche des quatre; et la face d'un aigle, à tous les quatre.
וּפְנֵיהֶ֕ם וְכַנְפֵיהֶ֥ם פְּרֻדֹ֖ות מִלְמָ֑עְלָה לְאִ֗ישׁ תַּיִם חֹבְרֹ֣ות אִ֔ישׁ וּשְׁתַּ֣יִם מְכַסֹּ֔ות אֵ֖ת גְּוִיֹתֵיהֶֽנָה ׃
Et leurs faces et leurs ailes étaient divisées par le haut; chacun avait des ailes, qui se joignaient l'une à l'autre, et deux couvraient leurs corps.
וְאִ֛ישׁ אֶל־עֵ֥בֶר פָּנָ֖יו יֵלֵ֑כוּ אֶ֣ל אֲשֶׁר֩ יִֽהְיֶה־שָׁ֨מָּה הָר֤וּחַ לָלֶ֙כֶת֙ יֵלֵ֔כוּ לֹ֥א יִסַּ֖בּוּ בְּלֶכְתָּֽן׃
Et chacun d'eux marchait vis-à-vis de soi; vers quelque part que l'esprit les poussât ils y allaient; et ils ne se tournaient point lorsqu'ils marchaient.
וּדְמ֨וּת הַחַיֹּ֜ות מַרְאֵיהֶ֣ם כְּגַחֲלֵי־אֵ֗שׁ בֹּֽעֲרֹות֙ כְּמַרְאֵ֣ה הַלַּפִּדִ֔ים הִ֕יא מִתְהַלֶּ֖כֶת בֵּ֣ין הַחַיֹּ֑ות וְנֹ֣גַהּ לָאֵ֔שׁ וּמִן־הָאֵ֖שׁ יֹוצֵ֥א בָרָֽק׃
Et quant à la ressemblance des animaux, leur regard était comme des charbons de feu ardent, et comme qui verrait des lampes; le feu courait parmi les animaux; et le feu avait une splendeur, et de ce feu sortait un éclair.
וְהַחַיֹּ֖ות רָצֹ֣וא וָשֹׁ֑וב כְּמַרְאֵ֖ה הַבָּזָֽק׃
Et les animaux couraient et retournaient, selon que l'éclair paraissait.
וָאֵ֖רֶא הַחַיֹּ֑ות וְהִנֵּה֩ אֹופַ֨ן אֶחָ֥ד בָּאָ֛רֶץ אֵ֥צֶל הַחַיֹּ֖ות לְאַרְבַּ֥עַת פָּנָֽיו׃
Et comme j'eus vu les animaux, voici, une roue apparut sur la terre auprès des animaux pour ses quatre faces.
מַרְאֵ֨ה הָאֹופַנִּ֤ים וּמַעֲשֵׂיהֶם֙ כְּעֵ֣ין תַּרְשִׁ֔ישׁ וּדְמ֥וּת אֶחָ֖ד לְאַרְבַּעְתָּ֑ן וּמַרְאֵיהֶם֙ וּמַ֣עֲשֵׂיהֶ֔ם כַּאֲשֶׁ֛ר יִהְיֶ֥ה הָאֹופַ֖ן בְּתֹ֥וךְ הָאֹופָֽן׃
Et la ressemblance et la façon des roues était comme la couleur d'un chrysolithe, et toutes les quatre avaient une même ressemblance; leur ressemblance et leur façon était comme si une roue eût été au dedans d'une autre roue.
עַל־אַרְבַּ֥עַת רִבְעֵיהֶ֖ן בְּלֶכְתָּ֣ם יֵלֵ֑כוּ לֹ֥א יִסַּ֖בּוּ בְּלֶכְתָּֽן׃
En marchant elles allaient sur leurs quatre côtés, et elles ne se tournaient point quand elles allaient.
וְגַ֨בֵּיהֶ֔ן וְגֹ֥בַהּ לָהֶ֖ם וְיִרְאָ֣ה לָהֶ֑ם וְגַבֹּתָ֗ם מְלֵאֹ֥ת עֵינַ֛יִם סָבִ֖יב לְאַרְבַּעְתָּֽן׃
Et elles avaient des jantes, et étaient si hautes, qu'elles faisaient peur, et leurs jantes étaient pleines d'yeux tout autour des quatre roues.
וּבְלֶ֙כֶת֙ הַֽחַיֹּ֔ות יֵלְכ֥וּ הָאֹופַנִּ֖ים אֶצְלָ֑ם וּבְהִנָּשֵׂ֤א הַֽחַיֹּות֙ מֵעַ֣ל הָאָ֔רֶץ יִנָּשְׂא֖וּ הָאֹופַנִּֽים׃
Et quand les animaux marchaient, les roues marchaient auprès d'eux; et quand les animaux s'élevaient de dessus la terre, les roues aussi s'élevaient.
עַ֣ל אֲשֶׁר֩ יִֽהְיֶה־שָּׁ֨ם הָר֤וּחַ לָלֶ֙כֶת֙ יֵלֵ֔כוּ שָׁ֥מָּה הָר֖וּחַ לָלֶ֑כֶת וְהָאֹופַנִּ֗ים יִנָּשְׂאוּ֙ לְעֻמָּתָ֔ם כִּ֛י ר֥וּחַ הַחַיָּ֖ה בָּאֹופַנִּֽים׃
Vers quelque part que l'Esprit voulût aller ils y allaient; l'Esprit tendait-il là? ils y allaient, et les roues s'élevaient vis-à-vis d'eux; car l'Esprit des animaux était dans les roues.
בְּלֶכְתָּ֣ם יֵלֵ֔כוּ וּבְעָמְדָ֖ם יַֽעֲמֹ֑דוּ וּֽבְהִנָּשְׂאָ֞ם מֵעַ֣ל הָאָ֗רֶץ יִנָּשְׂא֤וּ הָאֹֽופַנִּים֙ לְעֻמָּתָ֔ם כִּ֛י ר֥וּחַ הַחַיָּ֖ה בָּאֹופַנִּֽים׃
Quand ils marchaient, elles marchaient; et quand ils s'arrêtaient, elles s'arrêtaient; et quand ils s'élevaient de dessus terre, les roues aussi s'élevaient vis-à-vis d'eux; car l'Esprit des animaux était dans les roues.
וּדְמ֞וּת עַל־רָאשֵׁ֤י הַחַיָּה֙ רָקִ֔יעַ כְּעֵ֖ין הַקֶּ֣רַח הַנֹּורָ֑א נָט֥וּי עַל־רָאשֵׁיהֶ֖ם מִלְמָֽעְלָה׃
Et la ressemblance de ce qui était au-dessus des têtes des animaux, [était] une étendue semblable à la voir à un cristal [dont l'état] remplissait de respect, laquelle s'étendait sur leurs têtes par dessus.
וְתַ֙חַת֙ הָרָקִ֔יעַ כַּנְפֵיהֶ֣ם יְשָׁרֹ֔ות אִשָּׁ֖ה אֶל־אֲחֹותָ֑הּ לְאִ֗ישׁ שְׁתַּ֤יִם מְכַסֹּות֙ לָהֵ֔נָּה וּלְאִ֗ישׁ שְׁתַּ֤יִם מְכַסֹּות֙ לָהֵ֔נָּה אֵ֖ת גְּוִיֹּתֵיהֶֽם׃
Et leurs ailes se tenaient droites au dessous de l'étendue, l'une vers l'autre; [et] ils avaient chacun deux ailes dont ils se couvraient, chacun, dis-je, en avait deux qui couvraient leurs corps.
וָאֶשְׁמַ֣ע אֶת־קֹ֣ול כַּנְפֵיהֶ֡ם כְּקֹול֩ מַ֨יִם רַבִּ֤ים כְּקֹול־שַׁדַּי֙ בְּלֶכְתָּ֔ם קֹ֥ול הֲמֻלָּ֖ה כְּקֹ֣ול מַחֲנֶ֑ה בְּעָמְדָ֖ם תְּרַפֶּ֥ינָה כַנְפֵיהֶֽן׃
Puis j'ouïs le bruit que faisaient leurs ailes quand ils marchaient, qui était comme le bruit des grosses eaux, et comme le bruit du Tout-Puissant, un bruit éclatant comme le bruit d'une armée; et quand ils s'arrêtaient, ils baissaient leurs ailes.
וַיְהִי־קֹ֕ול מֵעַ֕ל לָרָקִ֖יעַ אֲשֶׁ֣ר עַל־רֹאשָׁ֑ם בְּעָמְדָ֖ם תְּרַפֶּ֥ינָה כַנְפֵיהֶֽן׃
Et lorsqu'en s'arrêtant ils baissaient leurs ailes, il se faisait un bruit au dessus de l'étendue qui était sur leurs têtes.
וּמִמַּ֗עַל לָרָקִ֙יעַ֙ אֲשֶׁ֣ר עַל־רֹאשָׁ֔ם כְּמַרְאֵ֥ה אֶֽבֶן־סַפִּ֖יר דְּמ֣וּת כִּסֵּ֑א וְעַל֙ דְּמ֣וּת הַכִּסֵּ֔א דְּמ֞וּת כְּמַרְאֵ֥ה אָדָ֛ם עָלָ֖יו מִלְמָֽעְלָה׃
Et au dessus de cette étendue, qui était sur leurs têtes, il y avait la ressemblance d'un trône, qui était, à le voir, comme une pierre de saphir : et sur la ressemblance du trône il y avait une ressemblance, [qui], à la voir, était comme un homme assis sur le trône.
וָאֵ֣רֶא ׀ כְּעֵ֣ין חַשְׁמַ֗ל כְּמַרְאֵה־אֵ֤שׁ בֵּֽית־לָהּ֙ סָבִ֔יב מִמַּרְאֵ֥ה מָתְנָ֖יו וּלְמָ֑עְלָה וּמִמַּרְאֵ֤ה מָתְנָיו֙ וּלְמַ֔טָּה רָאִ֙יתִי֙ כְּמַרְאֵה־אֵ֔שׁ וְנֹ֥גַֽהּ לֹ֖ו סָבִֽיב׃
Et je vis comme la couleur du Hasmal, ressemblant à un feu, au dedans duquel il était tout à l'entour; depuis la ressemblance de ses reins, et par dessus; et depuis la ressemblance de ses reins jusqu'en bas je vis comme qui verrait du feu, et il y avait une splendeur autour de lui.
כְּמַרְאֵ֣ה הַקֶּ֡שֶׁת אֲשֶׁר֩ יִֽהְיֶ֨ה בֶעָנָ֜ן בְּיֹ֣ום הַגֶּ֗שֶׁם כֵּ֣ן מַרְאֵ֤ה הַנֹּ֙גַהּ֙ סָבִ֔יב ה֕וּא מַרְאֵ֖ה דְּמ֣וּת כְּבֹוד־יְהוָ֑ה וָֽאֶרְאֶה֙ וָאֶפֹּ֣ל עַל־פָּנַ֔י וָאֶשְׁמַ֖ע קֹ֥ול מְדַבֵּֽר׃ ס
Et la splendeur qui se voyait autour de lui était comme l'arc qui se fait dans la nuée en un jour de pluie. C'est là la vision de la représentation de la gloire de l'Eternel; laquelle ayant vue, je tombai sur ma face, et j'entendis une voix qui parlait.
La Bible David Martin 1744.
Audio: ℗ Talking Bibles.
- Et la trentième année, au quatrième mois, le cinquième jour du mois, comme j'étais parmi les captifs, près du fleuve Chobar, les cieux s'ouvrirent et je vis des visions de Dieu.
- Le cinquième jour du mois, — c'était la cinquième année de la captivité du roi Joachin, —
- la parole de Yahweh fut adressée à Ezéchiel, fils de Buzi, prêtre, dans le pays des Chaldéens, prés du fleuve Chobar, et là, la main de Yahweh fut sur lui.
- Je vis, et voici qu'un vent de tempête venait du septentrion, et une grande nuée, et une masse de feu qui resplendissait alentour ; et au milieu d'elle on voyait comme l'aspect d'un métal plongé dans le feu.
- Et au milieu, je vis la ressemblance de quatre êtres vivants, et voici quel était leur aspect : ils avaient une ressemblance humaine.
- Chacun avait quatre faces, et chacun avait quatre ailes.
- Leurs pieds étaient des pieds droits, et la plante de leurs pieds était comme la plante du pied d'un veau ; ils étincelaient comme l'aspect de l'airain poli.
- Des mains d'hommes sortaient de dessous leurs ailes, sur leurs quatre côtés ; et tous les quatre avaient leurs faces et leurs ailes.
- Leurs ailes étaient jointes l'une à l'autre ; ils ne tournaient point en marchant ; chacun allait devant soi.
- Et voici quelle était la ressemblance de leurs faces : une face d'homme par devant, une face de lion à droite à tous les quatre, une face de taureau à gauche à tous les quatre, et une face d'aigle à tous les quatre.
- Et telles étaient leurs faces. Leurs ailes se déployaient au-dessus d'eux ; chacun avait deux ailes qui rejoignaient celles de l'autre, et deux ailes qui couvraient son corps.
- Chacun allait devant soi ; là où l'esprit les faisait aller, ils allaient ; ils ne tournaient pas en allant.
- L'aspect de ces êtres vivants ressemblait à des charbons ardents ; c'était comme l'aspect des lampes ; le feu circulait entre les êtres, le feu était éblouissant, et du feu sortaient des éclairs.
- Et les êtres vivants couraient en tous sens, comme l'aspect de la foudre.
- Et je regardai les êtres vivants, et voici une roue à terre auprès d'eux, devant leurs quatre faces.
- L'aspect des roues et leur forme étaient ceux de la pierre de Tharsis, et toutes quatre étaient semblables ; leur aspect et leur forme étaient comme si une roue était au milieu d'une autre roue.
- En avançant, elles allaient sur leurs quatre côtés et ne se retournaient pas dans leur marche.
- Leurs jantes étaient d'une hauteur effrayante, et les jantes des quatre roues étaient remplies d'yeux tout autour.
- Quand les êtres allaient, les roues allaient aussi à côté d'eux, et quand les êtres s'élevaient de terre, les roues s'élevaient aussi.
- Là où l'esprit les poussait à aller, ils y allaient, l'esprit les y poussant, et les roues s'élevaient avec eux ; car l'esprit de l'être vivant était dans les roues.
- Quand ils allaient, elles allaient ; quand ils s'arrêtaient, elles s'arrêtaient ; et quand ils s'élevaient de terre, les roues s'élevaient avec eux ; car l'esprit de l'être vivant était dans les roues.
- Au-dessus des têtes des êtres vivants, était la ressemblance d'un firmament, pareil à un cristal éblouissant ; il était étendu au-dessus de leurs têtes.
- Et sous le firmament se dressaient leurs ailes, l'une vers l'autre, et chacun en avait deux qui lui couvraient le corps de chaque côté.
- Et j'entendis le bruit de leurs ailes, quand ils allaient, comme le bruit des grandes eaux, comme la voix du Tout-Puissant, un bruit tumultueux comme celui d'un camp ; quand ils s'arrêtaient, ils laissaient retomber leurs ailes.
- Et il se faisait un bruit, partant du firmament étendu sur leurs têtes ; quand ils s'arrêtaient, ils laissaient retomber leurs ailes.
- Au-dessus du firmament qui était sur leurs têtes, il y avait comme l'aspect d'une pierre de saphir, en forme de trône ; et sur cette ressemblance de trône, il semblait y avoir comme une figure d'homme au-dessus.
- Au-dedans et alentour, je vis comme une forme de métal, comme un aspect de feu, depuis ce qui paraissait ses reins et au-dessus ; et depuis ce qui paraissait ses reins et au-dessous, je vis comme l'aspect du feu, et il y avait de l'éclat tout autour de lui.
- Comme l'aspect de l'arc qui est dans la nuée en un jour de pluie, tel était l'aspect de l'éclat tout autour de lui. Tel était l'aspect de la ressemblance de la gloire de Yahweh. A cette vue, je tombai sur ma face, et j'entendis la voix de quelqu'un qui parlait.
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